VOEU : n.m signifiant promesse, souhait ou désir. Mot tellement galvaudé ces jours-ci qu’il en ressortira lessivé, quelques jours plus tard. Le pauvre, lui qui était déjà ligaturé.
Pour lire une belle histoire sur les souhaits, voeux et étrennes, je vous renvoie à l’excellent blog de Jacques Mercier. Moi, j’ai pas le coeur (tiens, un autre mot ligaturé) à croire en cette tradition.
Je n’y crois pas.

Les voeux que l’on m’a souhaités ont-il atteint leur cible ?
Étaient-ils assez puissants pour chasser les mauvaises ondes ? J’en doute :
- 1983 : je perds mon père
- 1994 : je me tape un burn-out
- 1996 : je deviens acouphénique et hyperacousique
- 1998 : je déclenche un cancer
- 2008 : je perds mon beau-père.
- 2015 : je me tape un second burn-out.
- 2020/2021 : ben… vous savez. J’attrape le COVID. Je divorce.
Ces bonnes attentions, lancées par tradition les premiers jours de l’an, ont-elles contribué à mon bonheur ?
- 1993 : je rencontre ma future épouse
- 1995 : ma première fille naît
- 1997 : je me marie
- 1999 : ma deuxième fille naît
- 2008 : je démarre une passion de copywriter.
- 2021 : je rencontre Christine.
Je n’en sais trop rien.
En tout cas, permettez-moi de vous souhaiter une excellente journée, chers membres, chères lectrices, chers lecteurs.
Pour le reste de l’année, débrouillez-vous.
Pour le reste de l’année, débrouillez-vous.
T’as raison.
Pas de voeu mais un bisou alors !
Le mot ‘bisou’ sera abordé le 14 février si tu veux bien.
Dans la série, il y a aussi le “bon appétit” que je trouve très agaçant. Je ne vais pas dire pourquoi : Bigard l’a déjà fait…
Des corrélations…
Take care 🙂