Avant-dernier article dans lequel j’écris à boulets rouges sur la paresse professionnelle de certains journalistes web.
Une faute dans le titre
Évidemment, plus le titre est long, plus on risque d’oublier une lettre ou un accent. Chapeau, le Huffington Post !
Ou ici, dans le titre d’un tweet. Bon OK la Libre a été catho, mais quand même !
Donald Trump est-il saint d’esprit ? https ://t.co/3vGaIEWo8A
— lalibre.be (@lalibrebe) 11 août 2016
Une faute dans le chapô
Quand on entame un article et qu’on bute sur une faute, on ne donne ni 10/10 ni 7/7.
Quand je vois ce que je lis et quand je lis ce que je vois, je me dis que, malheureusement, le journalisme file vraiment un mauvais coton..
— Matakarku (@katiaely) 14 Juillet 2015
Des fautes un peu partout
Le drame : dans un article consacré à l’orthographe. Reste que le contenu de cet article de la RTBF.be est fort intéressant.
Une faute, c’est pas grave après tout
Avant que > subjonctif
Après que > indicatif (logique, l’action a lieu… après)
Une faute dans un communiqué de presse. Cela ne pardonne pas. Pour n’importe quelle presse.
Pendant ce temps-là, rue François-1er… #MorandiniGate pic.twitter.com/5tNIQRUmss
— Garriberts (@Garriberts) 26 juillet 2016
Un Belge ici, un belgicisme
OK, nous sommes dans un article sur le sport. Sur le foot en plus. Mais le journaliste doit-il reprendre texto le discours d’Hugo Broos ? Carte jaune, la DH :-)
Une faute dans la légende d’une photo
Souvent lors d’événements sensationnels pour lesquels il faut aller vite et surtout plus vite que les autres, on commet un impair.
Un manque de rigueur
Quand on annonce par erreur la mort d’une personnalité, on rentre dans le mur.
Je défends la presse, sans faute !
Je ne passe pas mon temps à traquer les sales manies des journalistes. Parfois, je crée des concepts et défends cette profession.
Ici
Allez plus loin :
- une page Tumblr qui relève les fautes dans la presse écrite française
- mes premiers articles sur le sujet
- ma Maison de correction
Partager la publication "Encore des fautes courantes de journalistes (suite, presque fin)"
Normal, tout est de la faute des journalistes et du refroidissement en primaire comme en secondaire
Certainement Pascal. On peut imaginer aussi la rapidité avec laquelle les journalistes doivent littéralement ‘pondre’ leurs articles, le fait qu’ils doivent tout faire eux-mêmes, y compris poster une photo parfois. Où sont les relecteurs ?
Quoi, j’ai fait une faute ? #hontepotentielle
Du tout !
DéKaPéDéChiRe !
Rassurez-vous Philippe ! 😉
Chouette. Bienvenue.